KEMETOS - LE NOUVEAU PARADIGME LIVRE 2 "LA LOI OU LA CONSCIENCE"
Momi M'buze Noogwani Ata Ye Mieko
20/02/2017
Roman
NkoySambo
Français
ISBN : 9782322138449
L'invasion du continent qui avait été concentrée sur le littoral Atlantique fut repoussée, de la Gambie à la Mauritanie ainsi qu'en Libye, avec le Sénégal comme point d'entrée principal.
Les pertes civiles furent très importantes, plusieurs millions de morts et de disparus depuis la Mauritanie jusqu’à la Gambie. La zombification par l'ennemi des civils comme arme de guerre donna plus d'arguments aux états du Grand Ouest pour poursuivre leur sélection draconienne des personnes pouvant obtenir le statut de réfugié sur le sol africain, se faisant bien plus virulents contre l'état fédéral africain sur le sujet.
De nouvelles lois plus restrictives sont décrétées dans la foulée. Mais d'autres députés et sénateurs s’y opposent courageusement. Mais en fin de compte, le bloc dit “modéré” a obtenu gain de cause et l'application des lois régionales strictes est devenue caduque.
Nombreux sont les militaires et vétérans qui se dressent contre l'application des lois restrictives sur les réfugiés mettant à mal la cohésion entre les peuples, les politiciens et l’armée tandis que des villes-campements sont créés aux frontières nord de la fédération pour y parquer les migrants alors qu'ailleurs des réfugiés subissent le courroux des autorités locales.
Rapidement, des mouvements politiques divergents naissent, parfois au sein même des institutions étatiques. La stabilité de l’état fédéral est de nouveau remise en question dans des proportions encore jamais vues ni imaginées, au moment où des menaces non éteintes et sournoises, vont progressivement refaire surface et révéler leur véritable ampleur. L'étau de l’ennemi que l’on pensait brisé va, dans l’ombre, prend alors une toute autre forme.
Les pertes civiles furent très importantes, plusieurs millions de morts et de disparus depuis la Mauritanie jusqu’à la Gambie. La zombification par l'ennemi des civils comme arme de guerre donna plus d'arguments aux états du Grand Ouest pour poursuivre leur sélection draconienne des personnes pouvant obtenir le statut de réfugié sur le sol africain, se faisant bien plus virulents contre l'état fédéral africain sur le sujet.
De nouvelles lois plus restrictives sont décrétées dans la foulée. Mais d'autres députés et sénateurs s’y opposent courageusement. Mais en fin de compte, le bloc dit “modéré” a obtenu gain de cause et l'application des lois régionales strictes est devenue caduque.
Nombreux sont les militaires et vétérans qui se dressent contre l'application des lois restrictives sur les réfugiés mettant à mal la cohésion entre les peuples, les politiciens et l’armée tandis que des villes-campements sont créés aux frontières nord de la fédération pour y parquer les migrants alors qu'ailleurs des réfugiés subissent le courroux des autorités locales.
Rapidement, des mouvements politiques divergents naissent, parfois au sein même des institutions étatiques. La stabilité de l’état fédéral est de nouveau remise en question dans des proportions encore jamais vues ni imaginées, au moment où des menaces non éteintes et sournoises, vont progressivement refaire surface et révéler leur véritable ampleur. L'étau de l’ennemi que l’on pensait brisé va, dans l’ombre, prend alors une toute autre forme.
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